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30 novembre 2011 3 30 /11 /novembre /2011 08:27

Cette semaine, vous avez été plusieurs à vous approcher de la réponse, Mireille la première (décidément, tu es vraiment très très forte à ce jeu !! bravo !!), mais personne n'a trouvé avec précision. il s'agissait d'un détail de bouchon, et le voici :

mystere_2011_11_27_reponse.jpg

Prochain kesss dimanche =^.^=

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30 novembre 2011 3 30 /11 /novembre /2011 07:15

Comme je le disais dans une réponse à un commentaire ce matin, le lycée (privé sous contrat, sis dans un vieil hôtel particulier du centre parisien) dans lequel je suis allée avait une philosophie un peu particulière. Nous n'y étions présents, en filière littéraire, que 18 heures par semaine, aucun cours n'était obligatoire (et contrairement à une idée reçue divinatoire très répandue, globalement nous en rations très peu, et le plus souvent dans les mêmes matières, vous savez, celles qui ne nous intéressent pas de toute façon, celles où même en présence, on ne retient rien tellement c'est loin de nos centres d'intérêt...), le respect primait vis-à-vis de tous (même si le tutoiement était la norme, y compris avec les profs et le directeur), les élèves avaient le droit de sortir de la salle de classe sans déranger le cours en demandant une autorisation si un besoin pressant les y poussait (comme un adulte sort parfois d'une réunion au boulot, par exemple... fi de la demande d'autorisation dont la seule raison d'être est de répondre à la despotique question "qui c'est le chef ?" et de montrer son petit pouvoir), il est même arrivé qu'ils en profitent pour revenir avec un café ou que le prof leur demande de lui en ramener un, des cours "en rab" nous étaient parfois proposés (souvent sous forme de vidéo et dans le superbe et plein de moisi sous-sol voûté, mais pas toujours, et là encore, contrairement à une idée reçue, il y avait parfois vraiment du monde), parfois les cours se terminaient au coin de la rue autour d'un café, et jamais aucun devoir à la maison, par principe (ah ben l'enseignement est un métier, hein !). Le week end, il y avait des ateliers (facultatifs bien entendu) réunissant les élèves, profs et parents qui le souhaitaient, pour de bons moments ensemble. Pour ma part, en temrinale, j'allais à un atelier d'écriture libre. Bon, je passe sur les détails de plein d'autres aménagements et dispositifs intelligents, je pense que vous avez compris l'esprit.

 

Leur taux de réussite au Bac (tous confondus, ils préparaient aux bac A1, A2, C, D, E et peut-être d'autres, je ne me souviens plus) était similaire à la moyenne nationale de l'époque, un peu plus de 70%, alors même qu'ils s'étaient spécialisés dans l'accueil des ados en échec (c'était mon cas en plus d'une phobie scolaire et d'une très sévère dépression qui a duré pas loin de 10 ans avec quelques hospitalisations au passage, et pourtant j'y ai fait le lycée dans ces conditions en 2 ans et ai eu le Bac).

 

Tout ça pour dire que c'est possibble, et même concrètement réaliste, même après la primaire. Question de professionnalisme, de compétence, de choix aussi. 

 

Quand j'ai mis les enfants à l'école, j'étais convaincue que ce genre d'endroit avait forcément "fait école", s'était forcément répandu, ça relevait du bon sens le plus élémentaire de le penser. Tout le monde y venait avec plaisir, profs comme élèves, le lieu était enrichissant, la réussite était bonne, c'était presque thérapeutique pour ceux qui allaient mal. Comment imaginer que loin d'avoir fait école, ce genre d'endroit avait été dézingué par le système, ni plus ni moins ?! A se demander si les côtés délétère et tyrannique du système ne sont pas, comme le suggèrent quelques auteurs comme Brighelli, parfaitement volontaires puisque continuellement et systématiquement renforcés depuis plusieurs décennies...

 

Il y a quelques jours, je pensais à ça parce que monsieur Plouf me parlait de l'exact opposé de cette philosophie : un cours de maths du CNED (Centre National d'Ensiegnement à Distance) sur lequel il a voulu se "repiquer" pour préparer un cours à SuperKrapou. Bon, le CNED, globalement (il y a des exceptions, comme le cours d'arts plastiques quand on y est inscrit, mais les exceptions sont rares), c'est à peu près la caricature de ce que la pédagogie fait de plus absurde et contre-productif. En plus des énormités, des contre-sens fréquents, des aproximations, des fautes, des photos pourries (les plus anciens lecteurs se souviennent peut-être de celle-là), de la pédagogie du tatônnement mal digérée (mais ça n'empêche qu'un conseiller pédagogique m'a soutenu, il y a 2 ans, que cette forme de tatônnement imposé était in-dis-pen-sa-ble à la mémorisation du travail... j'étais juste horrifiée par tant d'aveuglement à la pragmatique, dans cette profession, ça devrait être une faute professionnelle), de la façon de s'adresser aux adolescents très infantilisante et bêtifiante, des formulations ridicules pour singer une scolarité en présentiel (Lindsey pense que... Dylan, lui, dit que... et toi, quel est ton avis ? pffff mon avis, c'est qu'ils ont des prénoms de séries télé et que là je pensais faire des maths, pas du commérage), en plus de tout ça, dis-je, les cours, surtout ceux de maths, sont invariablement construits de manière à provoquer délibérément l'échec ! Drôle de philosophie pédagogique qui conditionne et met en place l'échec... Avec tous les dégâts d'estime de soi et d'efficacité du travail que vous pouvez imaginer...

 

L'exemple dont me parlait monsieur Plouf est là : cours de 3ème, 2ème page (numérotée 27), exercice 1. On demande à l'enfant de faire un calcul (n²+n-1) en trouvant un résultat qui ne peut pas exister (qui soit pair), mais ça on ne lui dit pas, on lui demande juste de chercher. Mieux : on lui ordonne d'y travailler pendant 10 minutes !! Avant, on n'a rien expliqué, juste proposé quelques exercices de révision sans aucun rapport, à la formulation ni faite ni à faire (ça serait tellement dommage de rater une occasion de mal comprendre !). Et roule ma poule ! Dix minutes de flippe pour trouver une solution qui n'existe pas, le CNED a volontairement envoyé dans une impasse... Consternant. Je n'ai pas les mots pour l'exprimer tellement je trouve évident que c'est contre-productif. 

 

Mais voilà : aujourd'hui, c'est ça la "référence", c'est ça les cours officiels que dispense l'Etat, ça répond parfaitement aux programmes (y compris dans la méthode), c'est pensé par des mecs, dans les ministères, qui voient des enfants tous les 10 ans, ou alors chez eux le matin, le temps de les déposer dans l'école privée côtée (et qui applique d'autres pédagogies) du coin, qui ont une idée de l'école publique, de la société réelle des vrais gens quotidiens (y compris enfants) totalement dépassée, et qui imposent tout et n'importe quoi, chacun leur tour, juste pour imposer avec leur nom écrit dessus, juste pour ne pas faire comme le prédécesseur de l'autre parti (bouh, c'est caca de faire comme l'autre parti !), comme des clébards qui pissent partout pour marquer leur territoire... 

Et au milieu de ces batailles de petits esprits prétentieux : les enfants, les ados... 

 

Quel drôle de monde...

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29 novembre 2011 2 29 /11 /novembre /2011 22:22

On se demande comme ça, mais en fait, ce sont des champignons... un peu trop éclairés !

pas 2011 11 fin02 champignons

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29 novembre 2011 2 29 /11 /novembre /2011 18:30

Et aussi salle des mariages, des réunions...

pas_2011_11_fin07_mairie.jpg

Le sol de la mairie de MorneBled est très beau, d'ailleurs la mairie entière est un ancien bâtiment rénové magnifique, avec une place toute neuve devant, tout dans des matériaux nobles. Je crois que mon détail préféré, ce sont les vieux escaliers qui montent au grenier, fermés au public, tellement usés qu'ils en sont dangereux... Combien de millions de pas, de courses, de cavalcades, de gamelles aussi, ont pu les mettre dans cet état d'accueil, creuser ce nid à chaque marche ?... j'adore ! D'aileurs, à l'occasion, faut que je vous en fasse une photo (le privilège d'y avoir accès pour les besoins de la biblio =^.^= )

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29 novembre 2011 2 29 /11 /novembre /2011 13:55

Comme vous l'avez demandé, voici le calendrier de l'Avent de PrincesseO (4 ans), imaginé et conçu par elle, juste un peu d'aide de ma part au début et à la fin, pour agrafer les rouleaux (puisque la colle qu'elle avait mise ne tenait pas), imprimer les numéros puis fixer (agrafer et scotcher) les berligots dans lesquels sont les friandises.

instruction_2011_11_calendrier-avent-PO.jpg

Donc il est en rouleaux de papier toilette peints. Dans chaque rouleau, un berlingot en papier de couleur, fixé d'un côté à un bouchon de bouteille avec du scotch, et fermé de l'autre côté avec 2 petites agrafes. Sur chaque bouchon, devant, un numéro, découpé puis collé par PrincesseO. Et hop ! un bolduc tout autour, et voilà le coeur-calendrier de l'Avent prêt à servir ! Elle est très fière d'elle, et franchement, ily a de quoi, elle rend bien son idée !

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29 novembre 2011 2 29 /11 /novembre /2011 08:11

Il y a quelques jours, j'ai assisté à un compte rendu de conférence très intéressant (sur la motivation pour les tâches répétitives et/ou quotidiennes chez les autistes de haut niveau, si vous voulez savoir et même si vous ne vouliez pas d'ailleurs) pendant lequel une psy a évoqué, dans un exemple, ce qu'elle appelait la notion de "non-choix", que je pratique aussi parfois, et que j'appelle plutôt "le choix détourné". Je vous donne un exemple, qui sera plus parlant. Le matin, un enfant ne veut pas s'habiller. Plutôt que d'entrer dans le conflit (et avec un AHN, ça peut durer, durer, durer, ce genre de négociation, vu que la force, la contrainte ou l'autorité n'ont aucune chance de marcher), on va détourner le choix, en proposant un truc du genre "tu préfères mettre la robe jaune ou le pantalon rouge ?", ou bien, pour reprendre l'exemple qui était donné par cette psy face à une enfant d'âge primaire refusant de s'habiller le matin, "bon, alors, tu préfères t'habiller à la maison avant de partir, ou tout emmener dans un sac pour t'habiller à l'école ?" (ah tiens, ça me rappelle un truc... Bon sang, j'étais en maternelle, et je n'ai plus jamais rechigné à m'habiller le matin !)

A la maison, ce genre de "ruse" marche jusqu'à un certain point, enfin surtout jusqu'à un certain âge, celui d'ailleurs auquel est à peu près rendu PrincesseO, 4 ans, qui ne se laisse déjà plus beaucoup prendre à ce petit détournement... 

 

Et je me disais hier que décidément, les Français sont des grands enfants, parce qu'avec eux, cette technique marche encore du tonnerre ! Bientôt nous voterons. On nous demande "alors ? Sarko ou LouRavi Hollande ? La peste ou le choléra ?" Et le troupeau de bêler bravement "c'est merveilleux, on est en démocratie"

Sauf que si ce genre de question à deux balles est appelé "non-choix" ou "détournement de choix", c'est bien que quelque part, y'a couillonnerie sur la notion même de choix. Alors pour la démocratie, le choix du peuple et tous ces bains de bouche verbeaux et blablateux, on repassera...

 

Robert me dit : démocratie n.f. ♦ Forme de gouvernement dans laquelle la souveraineté appartient au peuple ; Etat ainsi gouverné.

 

Alors, toi, petit grain de peuple qui penses que la France est encore une démocratie, de quoi es-tu souverain, dis-moi, ma poule ? 

 

Allez, pour se faire plaisir à refaire le monde et rêver que c'est possible, allons jeter un oeil du côté de l'Islande, ici ou ou ailleurs, mais pas dans nos médias lécheurs de lobbys, ça c'est sûr !

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29 novembre 2011 2 29 /11 /novembre /2011 08:05

J'aime l'endroit où ça change, les carrefours, les intersections... et là où une chose en devient une autre. Ici, là où la route goudronnée devient venelle de terre...

pas_2011_11_fin01_route-chemin.jpg

 

Je me demande toujours comment appeler les "pas du jour" ? J'aime bien ce terme, mais ils ne sont pas toujours du jour (là je m'apprête à en publier une série sur quelques jours, ils datent d'entre 4 et 8 jours, j'avais oublié de charger les photos...), et ce sont surtout des sols, pas des pas... "sols à pas" ? "pas du jour" ? "où portent les pas" ? autres ?...

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28 novembre 2011 1 28 /11 /novembre /2011 09:23

Et si je te pose des questions, qu'est-ce que tu diras ?

Et si je te réponds, qu'est-ce que tu diras ?

Si on parle d'amour, qu'est-ce que tu diras ?

(mais comment n'avais-je jamais pensé à cette chanson que j'idolâtre et écoute plusieurs fois par semaine depuis des années ?!)

 

Quelle a été votre plus grosse gaffe ?

 

Quoi de prévu cette semaine ?

gif-danse-spiderman.gif

(oui je sais rien à voir avec le lundi, mais je le trouve trop marrant, surtout quand on met de la musique... puis j'suis chez moi, j'fais c'que j'veux, d'abord, nanère !)

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28 novembre 2011 1 28 /11 /novembre /2011 08:25

Je ne reviendrai pas sur l'avis de la cours des comptes, qui a été assassine (de manière très argumentée, motivée et justifiée, cela va sans dire) avec l'Education Nationale dans son rapport 2010 (voir un article là par exemple, les 200 pages du rapport lui-même, ça fait long !).

Je voudrais juste évoquer, indépendamment de ce rapport, donc, un point de "détail" qui me semble énorme : celui des rythmes imposés aux enfants et adolescents.

 

En primaire, bon, les enseignants n'ont toujours pas tous bien intégrer la loi de 1956 sur les devoirs, qui sont interdits, qu'ils soient obligatoires ou facultatifs, et la loi le dit ainsi, dans le décret du 23 novembre 1956 (clou enfoncé par celui du 29 décembre de la même année), qui a été maintes fois repris depuis vu que pas souvent appliqué (ah ben ça bouge pas vite dans l'Education Nationale, les profs exercent une force d'inertie qui confine à la souplesse d'une croûte bien séchée, alors que l'éducation -puisque l'Instruction Publique est devenue Education Nationale, faut assumer- devrait pourtant être le premier domaine à avoir comme impératif d'être flexible et de s'adapter en temps réel au monde qui change, bref, hors sujet), et il y en avait même qui y avaient pensé avant 1956 (à ce sujet, voir l'histoire de l'interdiction des devoirs à la maison dans le primaire sur le site de l'académie de Grenoble). Du coup certains enfants se retrouvent à faire des temps de devoirs stupéfiants, et d'autres non... Pour l'égalité de traitement et l'observance de la loi par les fonctionnaires eux-mêmes, une fois de plus, bravo la France.

 

Au collège, les élèves, à mon époque, suivaient officiellement en présentiel 30 h de cours par semaine. Je doute que cela ait beaucoup changé depuis. Et en rentrant, ils se cognent encore facilement 2h de devoirs (légaux ceux-là, mais on arrive déjà à 38h de travail par semaine), et tous ceux du week end, souvent longs... Autrement dit, on dépasse allègrement les 40h hebdomadaires, légalement (puisqu'il y a sur le sujet un vide juridique), pour la plupart des enfants ! Alors que les salariés n'en ont que 35 à effectuer légalement...

Et qui donne ces travaux à rallonge à la maison ? Des profs ! qui font... ah ben non, faut pas dire leur temps de travail en présentiel, ça les fait gueuler, alors donnons les temps estimatifs qu'ils fournissent eux-mêmes quand on leur demande leur temps de travail réel : 42h par semaine en moyenne, disent-ils (si on compte la propention des syndicats à gonfler les chiffres, on peut raisonnablement penser qu'en réalité c'est un peu moins, mais passons)... Ils viennent nous pleurnicher sur l'épaule parce qu'ils travaillent plus que les salariés lambda du privé, mais leurs élèves, eux, ont juste le droit d'être sanctionnés et traités de faignasses s'ils ne les font pas, ces heures supp ! Cherchez l'erreur...

 (Juste un apparté en passant, quand je parle des salariés lambda du privé auxquels font référence ceux qui comparent, ça n'en concerne qu'une partie, hein, parce que je connais quelques cadres du privé qui ramènent du boulot à la maison malgré des semaines de 45h ou plus... curieusement, ceux-là, on ne les voit pas quand on compare sous prétexte qu'ils ne sont pas assujettis aux 35h, dixit les conventions collectives, et ils se retrouvent classés d'office parmi les heureux veinards qui ne font que 35h...)

 

Au lycée, n'en parlons même pas, ça prend des proportions délirantes, on n'est plus à une absurdité délétère près dans ce système qui n'en peut plus de se lustrer le noyau depuis des décennies mais ferait mieux d'acheter un miroir...

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27 novembre 2011 7 27 /11 /novembre /2011 11:50

Vendredi, j'avais à aller sur Paris pour CISE. Je prends donc le premier train du matin, dans le vent frais de 6h10, heure à laquelle je quitte la maison, grattounette de pare-brise en main !... 20 minutes de retard annoncé, 15 minutes à l'arrivée du train à Bayeux, en réalité 25 minutes de retard à l'arrivée à Saint-Lazare...

Bon, pas grave, j'avais prévu du battement.

Retour en début d'après-midi. Train bondé archi bondé. Bah ouich, le train précédent (qui allait moins loin) est tombé en panne, du coup tout le monde prend celui-là. Dommage. Les gens sont assis, debouts dans les couloirs et même entre les wagons. Je voyage donc une partie du trajet debout moi aussi, coincée entre les portes de sortie et celles des toilettes, qu'aucun employé ne vient d'ailleurs ouvrir (en même temps, faudrait qu'il se fraye un passage pour venir jusque là, et vu comme on est tassés, pas sûr que ça soit simple...)

Arrivée à Caen en retard, puisqu'il a fallu s'arrêter aussi dans les gares du train précédent, ce qui n'était pas prévu, et il me reste 3 minutes pour prendre le souterrain et choper ma correspondance ! Je l'ai, donc j'ai la joie de finir mon voyage, encore une fois debout et bien tassée, contre la porte de sortie cette fois... dans un wagon toujours surchauffé au manque d'aération écoeurant (au sens propre et digestif)...

 

Je prends le train tous les... allez... disons 4-5 ans ! Et curieusement, ça se passe toujours de la même façon. Paraît que la plupart du temps ça marche bien... Alors soit ceux qui disent ça sont d'indécrottables optimistes, soit je voyage avec un Murphy de poche et va falloir que je fouille mes fringues pour le débusquer...

 

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